« Don't call me Nymphadora ! »

NOM & PRÉNOM :

TONKS Nymphadora

SURNOM :

Dora, Tonks

ÂGE :

24 ans

DATE & LIEU DE NAISSANCE :

The Borders — Grande-Bretagne, 4 juin 1973

CLASSE SOCIALE :

Normale

ORIENTATION SEXUELLE :

Hétéro

STATUT MATRIMONIAL :

Célibataire

COMPOSITION FAMILLE :

Fille unique

MÉTIER :

Auror

CAPACITÉ PARTICULIÈRE :

Métamorphomage

NATURE DU SANG :

Sang Mêlé

DÉTAILS Dans un appartement dans le Londres Sorcier
Normale
Elle mesure 38 cm environ et est d'un bois clair tigré par des bandes plus sombre. Elle possède un manche singulier, semblable à un as de pique.
La situation est plus désespérante que jamais, mais ce n'est pas pour autant que tu vas cesser de te battre pour tout ce que tu crois juste. Toi, vivante, jamais tu ne cèderas aux ténèbres.
C'est ignoble ce que les Death Eater leur font subir. Ces pauvres sorciers ne méritent pas à un tel traitement, eux et leur famille. En tant que membre de l'Ordre du Phénix, tu feras tout pour leur venir en aide.
Ton camp est déjà tout choisi. Maugrey le sait et c'est d'ailleurs pour cette raison qu'il n'a pas hésiter à tme prendre sous son aile, devenant ainsi ton mentor
C'est un jeune arriviste sans aucune expérience, selon toi. De plus, c'est un Yaxley. Tu ne doutes pas une seule seconde qu'il est un Death Eater étant donné son géniteur.
Tu as toujours adoré le cours de Défense Contre les Forces du Mal. Tu ne nies être douée dans pas mal des matières, mais c'était cette dernière que tu débrouillais le mieux
Écouter les Bizzar' Sisters. Tu es fan de ce groupe et tu pourrais passer des heures à te repasse chacune de leur chanson.
Tu ne la pas assez connu pour prétendre le connaître ou quoi que ce soit d'autre. Mais quoi qu'il ait pu se passer dans sa tête, dans sa vie, tu estimes que ce n'est pas une raison pour abandonner ses amis et ceux qui ont toujours cru en lui. Tu ne veux pas prétendre que c'est de la lâcheté, tu es mal placée pour oser le faire.
Tu nies, garde le silence et enfouis les secrets bien au fond pour ne pas les divulguer. Même si cela te ronge, tu te sais bornée pour les garder pour toi.
Tu ne te drogues, ni fumes. En revanche, il t'est déjà arrivé de participer à quelques concours de boisson avec tes camarades d'études que ce soit à Hogwarts ou après. Tu sais que tu ne très bien l'alcool, mais bon. Tu as toujours passé un bon moment jusque là.
Tu sais de sources sûres que cela est l'œuvre des Death Eaters et de Harry — ou Voldemort, tu ne sais plus comment l'appeler maintenant —, mais tu ne comprends pas ce massacre. Pourquoi ? Qu'est-ce que ces gens lui ont-il bien fait pour ordonner une telle horreur ? Tu n'as pas de réponses, mais tu saisis que le nouveau Seigneur des Ténèbres semble bien pire que le précédent.
Tu n'as aucun préjugés les concernant, les acceptant tels qui sont. Au contraire, tu n'hésites pas à te montrer curieuse — quand cela ne les dérange pas — et à leur poser quelques questions. Tu ne les regardes pas de haut, tu ne les ignores pas. Tu serais prête à défendre n'importe quelle créature pourvu qu'elle ne te poignarde dans le dos en retour.
Tu as vécu sept années à Hogwarts. Certes, il y a eu des hauts et des bas, mais cette école restera ta seconde maison. Celle où tu as trouvé tes valeurs, trouvés des amis. Tu n'as plus vraiment de contact avec eux, mais lorsque tu les croises parfois, cela fait toujours plaisir de les revoir. C'est assez similaire avec les enseignants bien que tu ne te permettras aucune marque de familiarité.
Ta mère a peur, bien évidemment. D'autant plus qu'elle et toi devez faire le deuil de ton père, son mari. Tué par les Death Eater pour la simple raison qu'il est un Moldu. Tu soupçonnes ta tante Bellatrix d'être dans le coup ; elle qui n'a pas accepté que sa petite sœur s'entiche d'un "vermisseau". Ta mère voudrait que tu te caches, que tu ne combattes pas, mais elle sait que rien ne te fera changer d'avis et elle ne peut qu'espérer qu'il ne t'arrivera rien de mal.
Tu es fille unique.
Tu n'en as pas vraiment, te contentant de ce que tu as, de ce que tu es.
De perdre ta mère. La mort de ton paternel a été une annonce dont tu as encore du mal à te relever, sans parler de l'assassinat de ton cher cousin Sirius. Alors, perdre ta génitrice, ce serait la chute de trop.
Tu es très maladroite. C'est d'ailleurs à cause de ça que tu as failli rater ton examen pour devenir Auror.

CARACTÈRETu es quelqu'un d'assez extravertie, n'hésitant pas à mon ton agacement, ton amusement. Il t'arrive pourtant des moments où tu as besoin de calme et de solitude et de garder ce qui ne va pas pour toi. Tu es également plutôt curieuse, aimant comprendre ceux et ce qui l'entoure. Tolérante, il est hors de question pour toi qu'on laisse ta tête se remplir de préjugés, préférant accepter tout le monde tels qu'ils sont, en apprendre plus sur eux et, si cela s'avère possible, se lier d'amitié, n'hésitant pas te montrer protectrice envers eux. Tu sais aussi faire preuve d'humour surtout grâce à ta capacité de métamorphomage. Tu es aussi quelqu'un d'indépendante, capable de te débrouiller toute seule, ne demandant de personne pour agir. Ton obstination te permet également de garder ta volonté forte et d'aller jusqu'au bout de ta décision, te rendant prête à tout, refusant de reculer, même alors qu'il n'y a plus d'espoir.
Cependant, il ne faut certainement pas croire que tu es parfaite. En effet, tu es assez colérique dès qu'une personne t'appelle par ton prénom complet. Oui, tu détestes ton prénom. Tu es aussi dépensière, surtout lorsqu'il s'agit d'un vêtement dont tu as eu un coup de cœur ou quand il s'agit de ton groupe favori. Tu es quelqu'un de rebelle et cela se voit assez bien dans ta façon de t'habiller, mais aussi dans ton comportement ; c'est d'ailleurs la raison pour laquelle tu n'as pas été préfète lors de tes études à Hogwarts. Ton côté distrait te rend incroyablement maladroite. C'est d'ailleurs à cause de cette maladresse que tu as faillit rater ton dernier examen te permettant de devenir Auror. Tu es également quelqu'un d'assez franche, mais cette franchise peut te porter préjudice puisqu'il peut parfois t'arriver de blesser les gens par les paroles surtout lorsque tu veux secouer les puces de quelqu'un.

« My name is Tonks! »

Tu as une enfance heureuse, un début de vie simple. Dès que tu as eu la capacité de placer un pied devant l’autre, dès que tu as su parler à peu près convenable, envahissant tes parents de questions en tout genre, ils n’ont pas hésité à te répondre ; notamment sur ton interrogation concernant ton père. Pourquoi ton géniteur n’utilisait guère ses pouvoirs magiques comme tout bon sorcier le devrait. La raison est simple et ils te l’ont expliqué avec des mots simples à comprendre pour ton âge. Ton géniteur n’est pas un sorcier. Est-ce que tu vas être une sorcière alors ou tu seras comme papa ? Tu le sauras bientôt, mais ils sont tous les deux persuadés que ce sera le cas, que tu seras comme ta mère. Après tout, tu peux changer la couleur de tes cheveux selon tes humeurs et aucun moldu n’est capable de faire ceci. Durant plusieurs années, tu t’amuses d’ailleurs à tester les limites de cette faculté. Tu as également appris que très rare était les gens comme toi, des métamorphomages. Si tu ne sais pas quoi en changer, tes parents ne te cachent pas qu’ils en sont fiers. Ta première manifestation magique s’est déroulé lorsque tu avais huit ans. La curiosité concernant ton prénom si particulier t’a poussé à en comprendre ses origines. Déception. Tu as lu son histoire et tu n’as pas apprécié du tout. Le bouquin a pris feu et tu as paniqué, criant ta peur, alertant tes parents. Ils ne savent pas quel bouquin a brûlé, tu ne leur as jamais avoué, prétextant l’oublie face au choc.

A onze ans, tu as reçu la fameuse lettre de Hogwarts, celle qui a fait piaillé ta mère de joie et tiré un grand sourire sur les lèvres de ton père. Ce n’est pas la première fois que tu t’es rendu au Chemin de Traverse avec ta famille, mais tu es complètement surexcitée alors que tu prends conscience que les achats effectués ne seront que pour toi, pour ton année scolaire. Mais le summum de ton excitation, c’est lorsque vous avez été à la dernière boutique, la cerise sur le gâteau. La boutique d’Ollivander. Tu as essayé plusieurs baguettes sous l’oeil perçant et avisé du vieil homme, la main fébrile, jusqu’à ce que tu trouves la bonne.

— Hufflepuff !

La Maison applaudit tandis que tu rejoins ses élèves. La Maison du blaireau, de la tolérance.

Et tolérante tu es. Sauf lorsqu’on t’appelle par ton prénom. A partir de là, tu n’hésites pas à te montrer désagréable, mauvaise, envers tous ceux qui te hèlent par ton prénom. C’est durant toutes ces années Hogwarts où tu commences à adopter un style qui n’appartient qu’à toi, adoptant une couleur de cheveux qui t’est propre. Un style punk. Cela ne plaît pas aux enseignants, ni a tes parents, mais tu n’en as rien à faire. Cela te convient et tu ne comptes pas changer. C’est lors de ta cinquième année que tu découvres quel métier tu veux choisir ; Auror. Consciente de la difficulté, tu redoubles d’effort dans tes études. On se moque de ton comportement, de ta très grande maladresse contre laquelle tu ne peux rien faire. Cela ne t’empêche pas de très bien te débrouiller en cours de Défense Contre les Forces du mal.

Dix-huit ans. Tu as continué tes études. Pas le choix, si tu veux devenir Auror. Tu t’acharnes en cas d’échec, refusant de baisser les bras. C’est d’ailleurs durant en ce début d’année que tu sembles taper dans l’oeil d’Alastor Maugrey, dit Fol Œil. De son ton bourru, il te donne des conseils, réponds à tes questions, à tes craintes. Il te raconte des anecdotes sordides, mais tu écoutes toujours avec un grand intérêt. Sans que vous ayez besoin de vous concerter, l’homme est devenu ton mentor. C’est lui qui te guide lors des examens, te conseillant avant de te laisser agir, t’observant silencieusement et te donnant ses remarques lorsque c’est terminé. C’est également grâce à lui que tu as pu intégrer l’Ordre de Phénix et c’est avec un réel plaisir que tu as pu serrer dans tes bras, ton cousin que tu te souviens adorer. Accusé à tord, tu as serré les poings lorsque tu as écouté toute son histoire. C’est d’ailleurs cet été-là, cet été où tu as tout juste reçu ton diplôme attitré d’Auror, que tu as pu servir de garde du corps du si célèbre Harry Potter. Tu as pu également faire la connaissance de Remus Lupin, meilleur ami de Sirius.

Tu valses alors entre tes missions d’Auror et celles de l’Ordre, apprenant à connaître les membres, à les apprécier. Mais la plus dure mission a été celle se déroulant dans le Département du Ministère. Tu étais dans le QG à ce moment-là, discutant avec les membres, lorsque le visage de Snape est apparu dans les flammes de la cheminée, annonçant de sa voix froide, mais anormalement alarmée que le jeune Potter était partie au Ministère de la Magie dans le but de sauver son parrain des griffes du Seigneur des Ténèbres. Toutes les têtes présentes se sont tournées vers l’Animagus et tous ont compris que le jeune homme était tombé dans un piège. Immédiatement, vous vous êtes rendu dans le Ministère, accourant au secours des étudiants. Tu t’es retrouvé blessée dans la bataille, mais tu n’as rien raté de l’horreur, de la mort de Sirius. Puis, un allié t’a soulevé, aidé à te déplacer jusqu’au hall et tu n’as rien presque rien raté du combat interne entre Harry et Voldemort. Personne, pas même toi, n’avez compris pourquoi le jeune homme avait abandonné, laissant ainsi le Lord Noir prendre possession de son corps ; disparaissant alors sous vos expressions horrifiés.

Tu es emmené à Sainte-Mangouste et tu avoues que tu as un peu de mal à te relever. La blessure n’est pas si grave et tu peux bientôt en sortir, mais les récents événements ont eu un peu raison de ta volonté. Comment garder espoir alors que l’Élu vous a trahi et abandonné, alors que ton cousin est mort. Mais le pire reste à venir. C’est sur ton lit d’hôpital qu’on vient t’annoncer la mort de ton père. Remus, qui était venu te voir à ce moment-là, a été témoin de ton abandon. Tu as pleuré sur son épaule, t’accrochant à lui ; il est devenu ta bouée de sauvetage. Il est pourtant au courant de tes sentiments envers lui, et toi de son ressenti. Tu as besoin de quelqu’un, de lui pour remonter la pente. Pour retrouver l’espoir.

C’est ainsi que tu as pu sortir de l’hôpital, reprenant tes missions. Gérant ton drame sentimental et familiale comme tu le peux. Tu ne baisses aucunement les bras, ayant repris du poil de la bête. Et, en parlant de poil, tu n’as aucunement cessé d’espérer qu’il ouvre les yeux, cesse de s’apitoyer sur son sort et change d’avis. Qu’il comprenne enfin que, lui aussi, a le droit d’être heureux.

Ce n’est pas gagné, gagné.

Mais tu y arriveras.
L’Espoir n’est pas encore mort.